Dès la candidature, Paris 2024 a souhaité proposer un modèle d’événement plus responsable et circulaire, notamment dans l’utilisation de ses ressources. Si la majorité des équipements sportifs des Jeux sont loués, ceux qui ont été achetés avec le soutien de l’Agence Nationale du Sport (ANS) seront légués au mouvement sportif français. Des milliers d’autres objets utilisés pour l’événement feront eux aussi des heureux à l’occasion de Grandes Braderies des Jeux, en septembre et en octobre 2024.
Des équipements sportifs des Jeux légués au mouvement sportif français
Les équipements sportifs qui ont accompagné les performances et les exploits des athlètes du monde entier aux Jeux de Paris 2024 vont avoir une seconde vie !
Sur 1,2 million d’équipements sportifs nécessaires à l’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques, 75% ont été loués en accord avec la stratégie responsable des achats et la stratégie économie circulaire de Paris 2024. Le dernier quart a été acquis grâce au soutien financier de l’Agence Nationale du Sport (ANS). Ces équipements achetés seront légués au mouvement sportif français au bénéfice des athlètes et des sportifs de tous niveaux.
En ligne avec la stratégie définie et validée avec l’ANS, le CNOSF et le CPSF, les fédérations sportives nationales ont identifié, via un processus de sélection transparent, les potentielles structures bénéficiaires pour tous les équipements achetés par Paris 2024. Après validation de la commission de seconde vie interne de Paris 2024 et de l’ANS, des conventions de don ont été signées – ou sont sur le point de l’être – entre Paris 2024 et les fédérations concernées. Ainsi, la totalité des équipements sportifs aura une seconde vie vers des bénéficiaires sportifs et associatifs déjà identifiés, et ce avant la fin des Jeux.
Ce programme de réemploi reflète la volonté de Paris 2024 de développer l’accès à la pratique d’activité physique et sportive au plus grand nombre, notamment aux publics éloignés de la pratique sur des territoires en manque d’équipements sportifs, à l’image de la Seine-Saint-Denis, 103ème département sur 105 en termes d’infrastructures sportives.